Диссертация (1173192), страница 19
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Les clients le demandent et la technologie est prête.http://www.lefigaro.fr/societes/2012/09/24/20005-20120924ARTFIG00714-lenouveau-patron-de-sfr-va-etre-plus-agressif.phpНесколько реже встречаются общие вопросы, которые задаются лишьс помощью интонации:(37) Challenges: Vous êtes étonné de voir que les investisseurs chinoisinquiètent, en France ?Henri Giscard d'Estaing: Les choses qui ne m'étonnent pas dans cepays sont de plus en plus rares. Je vous parle de la France pas de la Chine.
Jene juge pas les autres situations mais je regarde les logiques. Nous avons éténous-mêmes en position de rechercher des partenaires et je comprendsparfaitement que d'autres soient dans cette situation aujourd'hui.https://www.challenges.fr/entreprise/tourisme/henri-giscard-d-estaing-patron-duclub-med-vive-la-chine-et-les-chinois_2015993(38) Capital : Vous publiez les notes de TripAdvisor. C'est un atoutcommercial ?Henri Giscard d'Estaing : Oui, d'autant plus qu'elles sont très bonnes.Trois des Club Med français sont classés comme les meilleurs hôtels deloisirs de France.https://www.capital.fr/entreprises-marches/henri-giscard-d-estaing-p-dg-du-clubmed-bon-courage-a-nos-concurrents-qui-veulent-monter-en-gamme-11588275. Частные вопросы, как и общие, используются интервьюером дляреализации различных тактик организационной стратегии.Так, пример (39) содержит специальный вопрос, который служит дляинициированиякоммуникациисгенеральнымдиректоромOrangeС.
Ришаром:(39) Les Echos: Où en est-on dans la révolution Internet ? Au début, aumilieu, ou plutôt vers la fin ?Stéphane Richard: La première fois que je suis allé chez Amazon, àl'entrée du bâtiment, il y avait cette phrase de Jeff Bezos : «Nous n'ensommes qu'au premier jour du voyage». Je pense que c'est toujours le casaujourd'hui. Nous allons déployer la 5G, cela va changer à nouveau leschoses. Il y a encore des pans entiers de notre vie sociale et de l'économiequi n'ont pas encore été pleinement impactés par la transformation digitale,comme l'éducation ou la santé. Et je n'évoque même pas le potentiel del'intelligence artificielle.https://www.lesechos.fr/tech-medias/hightech/030383941309-stephane-richardpdg-dorange-ian-rogers-directeur-digital-de-lvmh-cest-une-revolution-culturelleque-nous-vivons-2094623.phpВ примере (40) реализуется тактика смены темы. Интервьюериспользует для этого побудительное высказывание, которое сообщает о егонамерении перейти к обсуждению новой проблемы.
Частный вопрос свопросительным местоимением quels маркирует этот переход:94(40) EBM: Passons à vos activités d’épargne et d’assurance : quels sontles faits marquants du trimestre ?Jean-Laurent Bonnafé: Le total des actifs sous gestion augmente de13 milliards au premier semestre à 967 milliards d’euros, grâce à une bonnecollecte nette dans tous nos métiers.
L’essentiel de cette collecte provient enfait du deuxième trimestre. Prenons d’abord l’assurance : les revenusaugmentent de 9 % grâce à un niveau élevé des plus-values réalisées. /.../https://www.eurobusinessmedia.com/fr/video/resultats-t2-2016-bnp-paribas/В следующих примерах журналист, опираясь на уже полученнуюинформацию, задает уточняющие вопросы (тактика развития темы):(41) Le Figaro: Vous évoquiez la nécessité de relancer l'investissement.Comment faire?Frédéric Oudéa: Ni la dépense publique ni la consommation netireront à la hausse la croissance future.
Ce sera l'investissement privé, celuides entreprises. Mais d'où viendront les capitaux nécessaires? /.../http://www.lefigaro.fr/societes/2012/04/03/20005-20120403ARTFIG00696-lesbanques-francaises-font-leur-travail.php(42) EBM : Justement, quel est le positionnement de votre portefeuilleaujourd’hui dans un contexte de marché qui demeure incertain ?Henri Chabadel: Nous nous attendons clairement à une poursuite dumode risk on/risk off, c'est-à-dire des périodes de hausse entrecoupées depériodes de baisse assez violente et, en conséquence, nous avons positionnéle portefeuille essentiellement sur les actifs que nous considérons les plusrobustes /.../https://www.eurobusinessmedia.com/fr/video/henri-chabadel-directeur-desgestions-sigma-de-groupama-asset-management-explique-la-gestion-flexible821/6. Имплицитные вопросы формально не содержат вопросительныхслов, инверсии или интонации.
Но по смыслу они представляют собойвопросительно-побудительные высказывания журналиста (например, вформе краткого рассуждения или замечания), которые требуют комментария95со стороны интервьюируемого. В печатной и интернет-версиях они частосодержат многоточие, как маркер незаконченной мысли, требующейдополнения от интервьюируемого:(43) Les Echos: En Italie néanmoins, le secteur bancaire continue desouffrir...Jean-Laurent Bonnafé: En réalité, la grande majorité des banquesitaliennes est aujourd'hui solide, et on observe désormais une améliorationprogressive du contexte économique.
Quant à notre banque italienne BNL,la dépréciation de son « goodwill » intervenue fin 2015 est purementtechnique. Elle a par ailleurs multiplié son résultat par 2,5, à 57 millionsd'euros, hors éléments exceptionnels, et elle est très bien placée pour profiterdes opportunités du marché italien.https://www.lesechos.fr/08/02/2016/LesEchos/22124-121-ECH_jean-laurentbonnafe-----le-digital-va-permettre-d-accroitre-la-qualite-de-service--.htm(44) Le Figaro: Les investisseurs ont mal réagi aux résultats des tests derésistance bancaires menés par la BCE. Apparemment, ils doutent de leurcrédibilité…Jean-Laurent Bonnafé: Je ne crois pas.
L'exercice a été mené demanière très sérieuse et approfondie. Mais l'annonce de la BCE sur les«stress tests» est intervenue au moment où paraissaient de mauvaisesnouvelles économiques pour la zone euro. Dans ces conditions, les marchéssouffrent. Les résultats de ces «stress tests» sont très clairs. Et ils sont de trèsbonne facture pour BNP Paribas et l'ensemble du secteur bancaire français.http://bourse.lefigaro.fr/indices-actions/actu-conseils/jean-laurent-bonnafe-nosclients-nous-sont-restes-fideles-2929290Обратимся к вопросам журналиста, которые содержат в себе похвалу вадрес компании или, наоборот, констатацию её финансовых неудач.7.
Вопросы, содержащие похвалу.В примере (45) журналист EBM начинает свое интервью сисполнительным директором BNP Paribas Ж.-Л. Боннафе с вопроса о том,96каким был 2015 год для банка. При этом интервьюер называет этот банкевропейскимлидеромвсферепотребительскогокредитования,чтоспособствует установлению контакта между коммуникантами:(45) EBM: Comment s’est déroulée l’année 2015 pour PersonalFinance, le leader européen du crédit à la consommation ?Jean-Laurent Bonnafé: En 2015, Personal Finance a réalisé une trèsbonne performance, avec une augmentation des encours de 15% incluantLaSer et de 4,3% sur une base comparable, dans un contexte d’améliorationde la demande dans la zone euro.
/.../https://www.eurobusinessmedia.com/fr/video/interview-de-jean-laurent-bonnafeadministrateur-directeur-general-resultats-annuels-2015/В примере (46) интервьюер сначала констатирует непростую ситуациюв туристическом секторе, однако в вопросе отмечает, что туроператору ClubMed удалось успешно пережить этот период и интересуется, каким образомкомпания преодолела трудности последних пяти лет:(46) Paris Match: Votre secteur a connu de multiples chocs ces cinqdernièresannées.CommentleClubMeda-t-ilrésisté ?Henri Giscard d’Estaing: Je crois que, dans un monde aux prises avectant de turbulences et beaucoup d’économies au ralenti, il faut être soit lemeilleur, soit le moins cher.
Se situer au milieu revient à s’exposer à uneextrême vulnérabilité, voire au risque d’une disparition. /.../http://www.parismatch.com/Actu/Economie/Henri-Giscard-d-Estaing-La-Chineest-devenue-le-2e-marche-du-club-Med-10789548. Вопросы-провокации акцентируют неудачные направления вдеятельности компании(47) или отмечают общее снижение позицийкомпании на рынке (48). Цель такого коммуникативного хода – вызватьреакцию интервьюируемого, услышать его аргументы в защиту компанииили узнать планы по предотвращению возможных негативных последствий.97(47) Boursier.com : La grosse déception sur 2015 provient de KarlLagerfeld dont l'activité ressort bien en-deçà des prévisions.
Quels sont vosmoyens pour y remédier ?Philippe Bénacin: C'est une semi déception car Karl Lagerfeld réalisetout de même 10-12 ME de chiffre d'affaires estimés en 2015 mais nousespérions atteindre les 20 ME. La mayonnaise n'a pas pris indiscutablement.Nous allons nous donner une petite année de réflexion avant de lancerd'autres initiatives puisque pour l'instant le marché ne réagit pasfavorablement.http://www.boursier.com/actions/actualites/interviews/philippe-benacin-pdg-dinterparfums-4132.html(48)Le Figaro: Vinci n'est pas redevenu leader mondial du BTP en2013. En faites-vous un objectif prioritaire?Xavier Huillard: Ce n'est pas notre préoccupation. Des groupeschinois d'État nous ont dépassés car ils profitent du boom des infrastructureschinoises. Mais dans le BTP, le plus gros n'est pas forcément le pluscompétitif.
Par ailleurs, Vinci est l'opérateur le plus important à la fois surles métiers des travaux et des concessions. C'est un atout car les projets sontde plus en plus lourds financièrement. Si nous pouvons mener à bien unchantier comme la ligne à grande vitesse Tours-Bordeaux avec 6 milliardsd'euros de travaux, c'est certes parce que Vinci a atteint la dimensionsuffisante mais aussi parce qu'il dispose de toutes les compétences requises.http://www.lefigaro.fr/societes/2014/02/06/20005-20140206ARTFIG00094huillard-nous-accelerons-hors-de-france.phpПерейдем к анализу заключительной части интервью.
Если речь идет овидеоинтервью, как для EBM, то каждое общение руководителя спредставителемвежливости:СМИвыражениемзаканчиваетсяблагодарностиобщепринятымизаучастиевформуламиразговореипрощанием. Это отражено и в транскрипциях, которые приводятся на сайтеEBM. Что касается интервью для печатных изданий и их интернет-версий, то98там эти элементы отсутствуют, но, как и в видеоинтервью, журналистуказывает, что беседа подходит к концу, и задает заключительный вопрос.9. Лексические единицы с семой "конец", "завершение".(49) Journaliste: Le mot de la fin, les valeurs auxquelles vous êtes le plusattaché?Philippe Bénacin: Le fun ! Il n’y a rien de pire que de s’ennuyer toutela journée.
Le travail représente près de 50% de notre vie, alors autant lerendre le plus agréable possible.http://www.abc-luxe.com/actus/interviews/article/philippe-benacin-le-parfum-dusucces(50) EBM : Et enfin, vous annoncez l'accélération de la transformation dela Banque de Détail pour vous adapter aux changements des comportementsde vos clients.
![](https://s.studizba.com/z.php?f=/templates/si/i/noavatar.png&w=100&h=100&t=1"){kind=avatar}
